lundi 22 novembre 2010

Back


Après une rentrée mouvementée, des vacances reposantes, fonction "break up", et une seconde rentrée fatiguante et fatiguée, me revoilà, pleine de nouvelles croustillantes, d'envies diverses à partager.
Ah oui aussi, mon ordi était cassé. Tout ça pour dire que les conditions ne se prétaient pas pour écrire et continuer le blog.

J'essayerai de faire à nouveau un article par jour, mais cela risque de peut être être compliqué, on verra.
Voilà, en attendant une photo prise par Lola, lors de notre voyage en Italie, Toscana. Je reviendrai sur ces vacances d'ici quelques jours.

Bonne journée, Rebecca.

samedi 3 juillet 2010

The Last Evening in 2nd



On est arrivées chez Elle, il était 17h30 environ.
De la pluie tombait à grosses gouttes sur Paris. On était toutes les deux trempées, les cheveux bouclés, le maquillage qui coulait... "Je ne me regarde même plus dans le miroir de l'ascenseur" m'a-t-elle dit. J'ai ouvert la porte de son appartement, et on est rentrées : " Ooh je L'aime mon appart ! " (Oui, moi aussi je l'aime).
Puis, on a parlé. Lola s'est installée sur une chaise, face à son bureau, lampe de chevet allumée, clope à la main, cendrier à son côté, "Je me sens trop SJP là ! " et moi j'ai fumé une clope de mon nouveau paquet de Winston. On a alors un peu organisé la soirée. On avait prévu de d'abord diné avec Virgile "Plan à trois", et Malou, Margot avec Alexis et un pote à lui devaient nous rejoindre un peu plus tard.
Une petite heure après, il fallait que Lola aille chercher Virgile à la station "Place d'Italie". Je suis donc restée chez elle, j'ai fumé un cigarette au balcon, je me suis recoiffée, remaquillée, et j'étais prête à revoir une personne que j'appréciais, et que j'allais sans doute voir pour la dernière fois. Seul point négatif de la soirée. Je n'y prétais pas trop attention, je me résolus à ne pas y penser, et à profiter le plus possible de cette dernière entrevue.
Ils ont sonné à l'interphone, puis à la porte. On a tout de suite commencé à rire, à parler de tout et de rien. On a ensuite préparé le dîner. Virgile a mis l'eau à chauffer pour les pâtes, Lola coupait les tomates, et moi je m'occupait de la poële pour les poissons panés. On a fini par manger par terre, autour d'une petite table basse. C'était très sympa. Lola & Virgile sont devenus proches depuis peu. Enfin peu, ils se connaissent depuis le début de l'année, se sont tout de suite appréciés, mais certaines histoires ont, disons, contribué à leur rapprochement. Ils s'entendent maintenant très très bien.
Virgile attendait un message important d'une fille qu'il avait rencontrée seulement quelques jours auparavent. Il voulait passer une soirée avec elle, donc il lui proposait desidées, et elle lui répondait.
Vers 20h30, Lola est allée chercher Margot, Alexis son petit copain, et Félix, de nouveau à Place d'Italie.
Je suis donc restée, à la demande de Virgile, à la maison. On a commencé à parler, à tomber dans des délires, des fous rires incessants... Il a un humour comme peu de mecs ont. Ce qui le rend drole, c'est qu'il répond toujours au quart de tour, se répète, et transforme tes paroles en les rendant spirituelles. Lola nous avait suppliés de faire la vaisselle, alors on s'exécuta. Je lui parlai de mon idylle avec Pierre, de ses propos, de la relation qu'on avait... Il me donnait des conseils.
Quand L,M,A, F et un certain Charles franchirent le seuil de la porte, j'ai su que la soirée allait vraiment commencer. Ils avaient apporté trois flashs d'alcool : un Label 5 et deux Rhum. Chacun fumait sa cigarette, et racontait ce qui lui passait par la tête. L'ambiance était détendue. Margot et Alexis plaisantaient entre eux, et étaient charriés par les autres. De temps à autres, ils s'éclipsaient quelques minutes... Rien de bien méchant. De toute façon, ils étaient surveillés par Lola, qui tenait à son lit, et à sa nouvelle literie.
Vers 21h00 Malou est arrivée, pas très attendue par Virgile et Lola, "mais c'est Notre Malou quand même". Apperemment elle était passée au stade 3 avec le "mec de sa vie, un peu batard" Antoine.
Chacun à son tour buvait un gorgée d'alcool, entre deux bouffés de cigarettes. On allait à certains moments sur le balcon pour tenter de prendre l'air. Ce fut la première partie de la soirée.

La seconde devint quelque peu plus mouvementée. Chacun avait déjà bu une certaine quantité d'alcool, et était "joyeux". Virgile est alors tombé dans son délire : il disait à tout le monde que j'étais sa petite copine, qu'on sortait ensemble depuis un mois. Il me prenait dans ses bras, autour de la taille, me faisait des calins... Parallèlement, Lola le surveillait lui et Malou, pour qu'ils restent sages.
A partir de 22h45, Charles, Virgile, Malou et moi, nous nous sommes allongés sur le lit de Lola. On avait tous mal à la tête, et très chaud. Virgile toujours dans son délire. Je le suivais. Les gens commencèrent à être un peu destabilisés, mélangeant mensonge et vérité. Même moi je m'y perdais. On était donc côte-à-côte sur le lit, à se faire des calins, à s'entortiller les jambes, à se faire des bisous un peu partout, et des chatouilles. Alors là j'ai trouvé son point faible. Je ne l'ai pas laché. Et il s'est mis à m'en faire. On était explosé de rire sur le lit. Malou participait à nos fous rires.
Dès 23h45, Lola a commencé à ranger l'appartement, et on l'a aidée. On est tous partis à 00h00, on a pris le métro, et Charles est descendu avec moi, et m'a raccompagnée.
Je me suis endormie à 02h00.


jeudi 24 juin 2010

Become closer

Vogue. Tout un monde.

Ce n'était qu'un magazine comme les autres, aperçu sur l'étalage du kiosque en bas de chez moi. Et puis il y a eu Le Diable s'habille en Prada, long métrage devenu depuis ma source d'inspiration première. Vogue transformé en Runway.
Intouchable, j'y jetais parfois un coup d'oeil intrigué, m'imaginant toutes les femmes qui rentraient avec lui sous le bras. Mais quelles femmes ? Pourrais-je être une d'elles ? C'est une question qui se résoudra quelques mois plus tard.

Février 2009 : Lara Stone apparaît en beauté sur la couverture. Et là c'est mes mains qui saisissent le magazine. Arrivée chez moi, je commence à lire un article, puis un suivant... Je n'arrive plus à m'arrêter. Au bout de deux heures, il est fini. Je met à déchirer chaque photo, et à les accrocher sur mon mur, une par une. J'attrape mon téléphone, et appelle Lola. Je lui en parle, et elle me répond qu'elle m'a déjà devancé. On est sur la même longueur d'onde, comme toujours.

Mars, Avril, Mai, Juin, Juillet...Juin 2010 : La passion. Kate Moss, Daria Werbowy, Penélope Cruz, Scarlett Johansson, Chanel. Une succession d'icones. Mois après mois, je le dévore. Il devient même mon pilier. Il m'inspire, me donne des idées, des envies.

Contrôlé dans les moindres détails par les plus grandes (Anna Wintour, Carine Roitfeld), illustré par les magiciens de la photo (Mario Testino, Terry Richardson, Patrick Demarchelier, Peter Lindbergh...) qui capturent avec leur appareils les instants de perfection des top les plus recherchées (Vous voyez de qui je parle), Vogue est toujours à la pointe de la mode et de la nouveauté culturelle. Chacune de leurs protégées apparaît en tête de podium, après quelques photoshoot en dernières pages.
C'est le mensuel le plus influant de la planète
fashion, il dirige et décide chaque tendance au quatre coins de la planète. Vogue habille les femmes, habille le monde. C'est la référence par excellence, et ce depuis 1892 aux USA. Elles y sont toutes passées, sur la prestigieuse couvertue : Audrey Hepburn, Lady D, Jackie O, Marilyn Monroe, Liza Minelli, Michelle Obama, Sofia Coppola ainsi que Meryl Streep ou Keira Knightley.

Bref, Vogue a été et restera toujours le Modèle incontesté de nous Toutes.


Written by R & L.


mercredi 23 juin 2010

Et vous, combien dépenseriez vous pour une paire de lunettes ?

Petits, grands ; discrets, tape à l'oeil ; de marque, ou trouvés au puces, ce sont eux qui attirent le plus souvent mon attention. Eux, ce sont les accessoires et aujourd'hui ils sont surtout trois. Moi, c'est Lola à qui Rebecca a prêté son splendide blog le temps d'un article. D'ailleurs j'en profite pour lui dire merci, et évidemment lui dédier ce petit passage éphémère.
Mais il ne faut pas que je m'égare. Je porte donc mon interêt à nos trois chouchous : Sacs, lunettes de soleil et chassures.
NB : R = Rebecca et L = Lola.


1) Le sac. ( Passion de R )
Nécessaire et indispensable que ce soit au niveau du style ou de la commodité. Notre vie entière à nous les fille aime à s'y cacher. La plupart du temps d'ailleurs le rouge à lèvre dont nous avons besoin dans la seconde avant qu'il * arrive se cache très bien et ne se fait pas trouver. Passons. Le sac donc, élément constamment présent dans notre vie qui nous accompagne partout. A chacune son attitude avec lui : certaines en choisiront un "pour la vie" ( c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il soit déchiré ou jusqu'à ce qu'il passe de mode ) et d'autres préfèreront en avoir une centaine ou deux, pour trouver chaque jour celui qui se mariera avec leur tenue.
Le model au-dessus est celui dessiné par Sofia Coppola pour Louis Viutton. Pour Rebecca et moi, c'est LE sac. Avec ou sans lanière, n'existe que dans des couleurs atypiques : pas de noir, pas de bleu, la réalisatrice américaine avait choisi de faire un mélange pour son tout premier modèle. Regardez plus haut. C'est pas beau ? Coûtant (malheureusement) plus de 3000 €, il vous suffit de faire un peu attention pour remarquer que toutes les célébrités les plus glamours le portent. ( J'accuse Penelope Cruz, Kate Moss ou encore Gwyneth Paltrow. )
* Le grand Amour.


2) Les lunettes de soleil. ( Passion de L )

A chaque visage son modèle. Et puis il y a les chanceuses à qui toutes les paires vont. Mais je dirai même autre chose : à chaque caractère son modèle. Quelqu'un qui ne voudra pas trop se faire remarquer optera pour des lunettes "à la mode", je pense au Ray Ban Wayfarer l'été dernier par exemple. Au contraire quelqu'un qui aime se distinguer opterait cet été pour des lunettes papillon qu'on a pu voir dans tous les magasines ou des lunettes à la Marion Cotillard dans ses shoots pour Dior. Personnellement, j'ai craqué pour le modèle de Chloé ci-dessus. Je tuerai pour les avoir. J'avais dans l'idée d'acheter des lunettes de cette forme déjà quand je les ai repérées au sous-sol des Grands Magasins à Haussman. Mais ce model, celui-là précisément, m'a achevée. Les branches fines, les couleurs claires, la forme parfaite et la marque intouchable m'ont séduite en une seconde top chrono. Je les essaye, Rebecca me jure ne plus plus jamais m'adresser la parole si je ne les prend pas et là c'est le drame : 275 €. Comment on économise autant d'argent déjà ?




3) Et puis il y a les chaussures. ( Notre passion )

A talons, de préférence. On a mis du temps à convaincre nos parents, comme toute jeune fille, mais on a réussi. Evidemment on a du procéder par étape : 2 cm, 5 cm, 7 cm ( j'ai cru que ma mère allait me déshériter ) et on a glissé tranquillement jusqu'à 10 cm. 10 cm, c'est plus ou moins notre limite. La différence c'est que maintenant on ne doit rentrer dans les magasins avec notre petite règle, car plus personne ne vérifie exactement la taille, mais quand même.
Les chaussures par contre, c'est à celle qui en a le plus. Et dans le plus de style différents. On a tellement cherché à faire dans l'original qu'on a oublié le basique : l'escarpin noir à la pointe vertigineuse. Et puis, à force de fouiller, on a remarqué qu'on en avait presque oublié la chaussure noire tout simplement. Erreur bien vite rattrapée grâce à certaines ventes privées.
Dans le domaine chaussure, Jimmy Choo reste l'un des plus grand. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien s'il est cité au moins deux fois par saison dans Sex and the City où les personnages principales ont plus de chaussures qu'on pourait jamais rêver d'avoir. Quoi que, puisque notre pendrie est une pendrie commune avec R. j'aurai presque envie de lancer un défi : Oserons-nous dépasser les quatre New-Yorkaises mon bébé ?
Je t'aime,
L.

samedi 19 juin 2010

Old






Quelques photos retrouvées dans mes archives, en attendant la réparation de mon appareil photo.

Love You Sister.

jeudi 10 juin 2010

Berlin #2 : The visiting.

Ah Berlin !

On ne peut pas se rendre compte du charme de la ville avant d'y être aller : Ces immenses avenues de 2 fois quatre voies, avec deux rangées d'arbres feuillus de chaque côté, et des pistes cyclables autour. Epatant. Mais également les Cafés lounge tout les 10 mètres : du Starbucks au café typiquement allemand. On y trouve toutes sortes de grands cafés plein de chantilly, toutes sortes de milkshakes, et frappés, et toutes sortes de gros gâteaux : des Strudles, cheesecakes etc etc. Puis, les monuments. Je n'en ai vu qu'une partie, mais ils étaient vraiment uniques, aux architectures des plus différentes et originales : Le Mémorial des Juifs allemands déportés en 39-45, la Porte de Brandebourg, le Check Point Charlie, les ambassades internationales...Et j'en oublie. De plus, les espaces verts. En plein centre de la ville, c'est "son poumon" : 6 hectares de forêts, de pelouses, de barbecue, de champs de fleurs... Quelque chose de particulièrement unique. Enfin, le déplacement en vélos : la voiture, on connaît pas. Ou si, soit pour sortir de la ville, soit pour prendre un cab. Sinon, tous se déplacent en vélos, c'est le sport international, et pratique en plus, parce qu'il y a des pistes absolument partout. Une idée qui devrait être adoptée à Paris aussi, je trouve.

Les immenses avenues :


Les Cafés Lounge : patisseries à volonté.


La Porte de Brandebourg : En 1933, Hitler y défile : il est nommé Chancelier.


Le Mémorial des Juifs déportés : Une architecture unique.


Le Checkpoint Charlie : passage illégal d'informations, d'armes... de l'Armée Américaine de Berlin-Ouest à la Russie de Berlin-Est.



lundi 7 juin 2010

Berlin #1 : StreetStyle.

Week End à Berlin, Samedi 5 juin et Dimanche 6 juin 2010

Postée entre deux arbres, au côté d'un mur, ou derrière une ombre, je restais toujours à l'affut de filles bien habillées, bien faites, aux beaux cheveux, ou juste belles. Dès que j'en apercevais une, je me précipitais sur mon appareil photo, et je les photographiais. J'aime ça, garder un souvenir d'une personne qui a marqué mon esprit et attiré mon attention.
Ces photos en sont quelques illustrations.

La première représente une femme allemande, très pressée en cette après midi ensoleillée. Recherchant avec persistance dans son sac Gucci je ne sais quoi, elle me regarda l'équivalent de quelques secondes, puis me doubla. Juste le temps de capturer son image.


La seconde, c'est une jeune fille de couleur. Elle est le premier cliché que j'ai pris en arrivant à la capitale. Elle a attiré mon attention car elle portait un short en jean si court que j'eus d'abord du mal à l'identifier. Il lui allait cependant vraiment bien : jambes d'une finesse absolue, elle pouvait se le permettre, évidemment. Porté par le bras, son sac Longchamp était parfaitement assortie à sa tenue. D'ailleurs, ce sac, je l'adore : transparent et légèrement brillant en même temps, avec quelques lignes marquées de la marque, et de son insigne. Une réussite. Puis, sa veste de smoking était parfaitement ajustée, et ses chaussures, indescriptibles, mais magnifiques.


La troisième m'a tout de suite plu. J'étais dans un musée, en fin d'après midi.
C'est alors que je remarque ces deux beautés. Disons que ce sont d'abord leurs robes, de loin, qui m'ont attiré la vue. L'une jaune à pois blancs, et l'autre de couleurs chaudes, plus moulante et plus courte. Et leurs cheveux. Ah ces cheveux d'Allemandes ! D'une blondeur infinie, avec quelques reflets plus clairs à des endroits, et plus foncés à d'autres. J'étais hypnotisée. Il n'y a qu'elles pour en avoir de pareils ! De plus, leurs bagues, comme on peut en deviner sur la photo, représentaient chacune un motif différent. Elles en avaient au moins quatre à chaque main. Toutes d'une certaine taille, et en argent ou métal.


Cette dernière capture présente une jeune fille asiatique d'une trentaine d'années. Elle avait une peau blache incroyable, contrastant avec la couleur de ses cheveux, de son tee shirt, ou de sa veste. Elle est passée devant moi, courant presque, son numérique à la main. Elle m'a plu. Elle avait la classe et la tenue d'une japonaise.


Je peux finir par dire que je présente maintenant ces quatre photos, les ayant choisies pour leur diversité, non de la prise de vue, mais de la personne représentée. A Berlin, les filles sont toutes bien habillées, ou du moins, avec une certaine élégance.

Les photos de la ville arrivent d'ici deux jours.

xx, Rebecca.

Ps : Je T'aime, Toi.

Qui êtes-vous ?

Ma photo
Une lycéenne, passionnée par la Mode, la Photographie et le Cinéma.